9 octobre 2010
Misérable enfant
Je devais me rendre au centre commercial pour effectuer mes derniers achats avant le mariage de ma copine, et comme il faisait froid, j'avais pris soin de sélectionner des chaussettes plus longues. Ceux qui sont familiers avec mes tiroirs savent dans quel état lamentable peuvent se retrouver certaines paires, usées et généreusement trouées. Et celle-ci n'était vraiment pas en reste. Mais pourquoi s'en faire, puisque je serais la seule à les voir dans la cabine d'essayage?
C'est en entrant dans le centre commercial que je me rappelai soudain ce que j'étais venu y chercher: des chaussures!
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